Les gens ont tendance à tomber dans l'un des deux camps quand il s'agit de petit-déjeuner: ceux qui mangent et ceux qui ne le font pas. Alors que certains dans le camp de ce dernier nie fermement la nécessité pour le petit déjeuner, d'autres peuvent sauter par manque de temps ou d'énergie pour le faire ou pour économiser quelques calories. Une nouvelle étude cette semaine a révélé que sauter le petit déjeuner est une mauvaise façon de réduire les calories car cela peut augmenter vos envies de nourriture plus tard dans la journée.
Les chercheurs ont décidé d'étudier les effets de petit-déjeuner sur le poids et le cerveau après avoir observé une tendance croissante vers sauter le petit déjeuner chez les adolescents qui, comme le reste de la nation, sont également de plus en plus obèses. L'hypothèse que les deux ayant le petit déjeuner et la composition du petit déjeuner peuvent changer la façon dont le cerveau réagit à la nourriture, ils ont décidé de regarder une substance chimique du cerveau appelée dopamine qui est impliqué dans la récompense et les fringales.
Les chercheurs ont réuni un groupe de 16 jeunes femmes en surpoids entre 13 et 20, qui elles assignés au hasard à sauter le petit déjeuner, manger un petit déjeuner normal ou manger un petit déjeuner riche en protéines. Ils ont suivi le régime alimentaire pendant six jours, puis sont venus pour tester le septième. Les chercheurs ont ensuite mesuré un produit chimique appelé acide homovanillique (HVA) dans l'urine, qui est une substance chimique produite par la dégradation de la dopamine. Si les niveaux de dopamine sont plus élevés dans le sang, HVA doit également être plus élevé dans l'urine. Les auteurs ont également demandé aux participants au cours de la septième journée pour évaluer leurs envies pour les aliments sucrés et salés.
Les chercheurs ont constaté que ceux qui ont mangé le petit déjeuner a connu une diminution de leurs fringales pour des aliments sucrés et salés, tandis que ceux qui n'ont pas manger le petit déjeuner sans surprise continué à avoir ces envies. La diminution des fringales a été associée à une augmentation de HVA dans l'urine des adeptes du petit déjeuner, dont les cerveaux ont été sans doute répondre à la consommation d'aliments.
Fait intéressant, les petits déjeuners riches en protéines ont conduit à une diminution beaucoup plus dramatique en désir d'aliments salés que régulièrement des petits déjeuners. Cela s'est traduit par des montants plus élevés de HVA dans l'urine, indiquant peut-être que ces petits déjeuners étaient plus satisfaisant. Les chercheurs soulignent également qu'un composant de la protéine présente dans l'aliment est nécessaire à la fabrication de la dopamine, afin d'avoir un petit déjeuner riche en protéines pourrait monter en régime de la production de cette substance chimique du cerveau.
Ce constat s'ajoute à un nombre croissant de recherches sauter le petit déjeuner peut avoir des conséquences imprévues plus tard dans la journée. Le même groupe de chercheurs ont également constaté que les adolescents qui sauté le petit déjeuner ont plus faim et moins satisfaits après avoir mangé quelque chose le matin, ce qui en fait conduit à une augmentation de l'apport calorique. Cela a corrélée avec une autre étude qui a eu IRM de cerveaux de petit-saut et a trouvé une activation accrue dans les zones qui ont motivé l'alimentation et augmentent la récompense associée à la consommation.